Le navet noir du Pardailhan

Le navet noir du Pardailhan
© 180°C Photographie Éric Fénot

Le navet noir de Pardailhan… On pourrait penser qu’il s’agit là d’un mystérieux tubercule tout droit sorti de l’imaginaire Tolkienien, et auquel on aurait prêté quelques pouvoirs magiques ! Pourtant, le « précieux » en question, qui l’est de par sa rareté, prend bien racine dans le monde réel, chez nous en France ! Point de magie, mais une saveur unique, à la fois douce et fruitée pour ce légume qui peut même se dévorer cru en début de saison…

Quant à Pardailhan, situé dans le département de l’Héraut et la région Occitanie, ce minuscule village culmine à 500 mètres d’altitude avec comme particularité d’être soumis à de fortes variations de température. Trois climats, méditerranéen, océanique et montagnard, se disputent ce petit bout de terre esseulé et confèrent à notre navet son caractère unique.

Le navet noir du Pardailhan
© 180°C Photographie Éric Fénot

Piquée par la curiosité, notre rédaction, en la personne de Delphine Brunet et d’Eric Fénot, a voulu en savoir plus sur cet « or noir du Haut-Languedoc », un des trois premiers « produits sentinelles » français à avoir été répertorié par l’association Slow Food France.

Olivier et Cécile Verdoire, des reconvertis qui sont aujourd’hui les seuls à produire ce navet en bio, nous ont accueilli sur leurs terres et ont accepté de nous livrer tous les secrets de ce légume peu ordinaire…

Un reportage à retrouver au menu du N°8 de la revue 180°C, avec un texte de Delphine Brunet et des photos d’Éric Fénot
© 180°C Photographie Éric Fénot
© 180°C Photographie Éric Fénot
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