Oignon brûlé déchu
byAlors comme ça on nous refait le coup des anciens et des modernes ? Et qui en pâtit (patit ?) doublement ? Notre cher oignon brûlé qui…
Au menu de cette rubrique, les billets d’humeur de notre rédaction et autres tribunes, chroniques… sérieuses et parfois beaucoup moins sérieuses, en réaction à l’actualité, ou pas !
Alors comme ça on nous refait le coup des anciens et des modernes ? Et qui en pâtit (patit ?) doublement ? Notre cher oignon brûlé qui…
Plus de six mois après l’intervention des pouvoirs publics, la filière du porc breton reste sinistrée. Le kilo à 1.40 euro, tel était le…
Évènement important en décembre 2015 : le MIN de Rungis consacre un pavillon entier aux produits bio. On est loin du temps où les…
La reconversion c’est un élan, mais c’est aussi de la raison : le grand re[bon]d éclaire le sujet avec de nombreux chiffres. Le grand Re[bon]d !…
Dans la cuisine, les cuissons que vous faites au quotidien ont des impacts carbone allant du simple… au double !
170 kg de gaspillage alimentaire par an et par européen, dont 20 kg en bout de chaine…Tels sont les chiffres, effroyables dans leur crudité… Jeter est une calamité économique, sociétale, écologique, éthique.
La nouvelle n’a pas fait la une des journaux. Pourtant, depuis le mois d’août dernier, la fraise de veau est de nouveau autorisée sur les étals des tripiers et chez leurs confrères de la boucherie.
Asafumi Yamashita : explosé ! Alain Passard : atomisé ! Annie Bertin : pulvérisée ! Et même la Maison Plisson, haut lieu des nourritures hors norme n’ose encore proposer sur ses étals les produits de Monsieur Guilhem Dejeant, de Pezenas. A 20 euros (hors taxes ?) l’unité, que sont-ils-donc, qu’est-ce ? Des tomates…20 € la tomate, vous ne rêvez pas !
Depuis la plus haute antiquité, les lecteurs du Canard enchaîné espèrent puis savourent les Dossiers que le précieux volatile concocte à ses heures perdues. Il y a quelques semaines, l’Oiseau s’est attaqué à un des piliers du savoir-faire français : la cuisine.
Est-ce le poids de la fonction qui commence à peser ? Ou bien tout simplement le plaisir de se faire l’avocat du diable ? Le président Obama s’est fendu d’un tweet contre Melissa Clarck du New York Times qui préconisait de rajouter des petits pois pour améliorer la texture du guacamole !
Énième soubresaut du système agro-industriel français, la fièvre « porcine » qui couvait depuis deux ans déjà a fulminé ces derniers jours et trouvé tout l’écho qu’elle mérite dans les médias, signe supplémentaire de l’intérêt que les Français portent à leur alimentation…
Le scandale de la viande de cheval de l’automne 2013 découvert lors d’un contrôle de routine effectué en Irlande quelques mois plus tôt avait laissé le consommateur pantois face aux produits élaborés par l’industrie agro-alimentaire et dans l’incompréhension des raisons aboutissant à un tel épisode. 180°C revient presque deux ans plus tard sur cet épisode déplorable.
Nous avons le plaisir de vous annoncer en exclusivité l’ouverture du premier bar à tiramisù We Are Tiramisù (…) l’histoire de deux amis d’enfance qui partagent la même passion de la gastronomie, les mêmes affinités pour le sucré et qui imaginent, ensemble…
Depuis près d’un an, le Collège culinaire de France, coprésidé par Alain Ducasse et Joël Robuchon, se disait qu’il était temps – tu m’étonnes – que les clients soient informés de ce qu’ils consomment dans les restaurants en définissant et en protégeant la dénomination du « fait maison » et en développant une appellation « Restaurant de Qualité ».
À l’instar des formules de politesse écrites qui évoluent au fil des années, les serveurs se sont récemment entichés d’un verbiage qui fait mal aux oreilles, le « Ça a été », pour connaître votre impression. Un « Avez-vous été satisfait ? » ou encore un « Cela vous a-t-il plu ? » serait tellement plus agréable à entendre que cette formule de mauvais français…
Il semble que toutes les agnelles au nom de « Rubis » ou « Ruby » attirent les projecteurs… Il y a peu, Ruby défrayait la chronique en divertissant l’ancien président du Conseil Italien alors que notre Rubis nationale à nous, se contente que de mêler ses gènes avec ceux d’une méduse…
Dans Zahia, tout est bon : l’échine, les côtes, le filet et surtout le jarret, si moelleux et subtil. Et tout est à vendre sur l’étal… Il suffit de se pencher, le choix ne manque pas et il y en a pour toutes les bourses.
Le serveur de ce bistrot urbain s’avance les bras chargés d’un trésor visiblement inestimable à ses yeux et annonce fièrement : « Beurre de maître Bordier et pain de monsieur Poujauran »…