Il semble que toutes les agnelles au nom de « Rubis » ou « Ruby » attirent les projecteurs… Il y a peu, Ruby défrayait la chronique en divertissant l’ancien président du Conseil Italien alors que notre Rubis nationale à nous, se contente que de mêler ses gènes avec ceux d’une méduse…
Et tout le monde en fait un plat ! Rien de terrible au fond… Un escargot-tapir ou un éléphant-poisson-chat, là ce serait quelque chose…
Ainsi donc Rubis, la brebuse, s’est retrouvée à l’abattoir puis dans la chaine alimentaire pour le bonheur de quelques élus qui lui ont peut-être trouvé un goût de poisson… Au dire des spécialistes, ils ne risquaient pas plus que ça. Nous verrons bien s’il leur pousse des tentacules dans quelques mois. En tout cas, selon les connaisseurs, l’acte malveillant destiné à jeter l’opprobre sur l’INRA est manifeste. Mais attendons l’enquête.
« Frankenfish » le saumon Etasunien
Cet opprobre est d’autant plus injuste que la transgénèse animale pour l’alimentation humaine semble sur le recul : « Frankenfish » le saumon Etasunien géant ne décolle pas et Enviropig low émission ne sort pas de sa soue, même si les Chinois, au loin, travaille sur Cholestéropig, le cochon maigre. D’autres techniques, plus « douces » comme la sélection génomique et « l’édition des gènes » sont en pointe car elles aident les éleveurs à mieux choisir leurs génisses pour le renouvellement de leur troupeau, à mieux connaître les qualités des animaux et, ainsi, à affiner les accouplements.
Les accouplements… Finalement, il n’y a que ça qui fasse causer…