Pourquoi avoir nommé « châtaigne » un produit aussi amical et bienveillant ? Mystère… Toujours est-il qu’il faudra éviter de consommer la bogue de ce monosperme indéhiscent, piquante comme un oursin et se concentrer sur l’akène, bien plus savoureux.
Retrouvez l’intégralité de ce portrait de la châtaigne (et les 3 recettes qui l’accompagnent) dans la rubrique « Légumologie » de Stéphan Lagorce, au sommaire du N° 31 de « Oui! », le magazine de La Ruche Qui Dit Oui
© 180°C – Textes et recettes Stephan Lagorce
Potage de châtaignes à l’huile de noisette
Cailles et châtaignes blanchies mijotées avec esprit
Fastidieux de châtaigne à la vanille